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Libéral et humaniste: un politicien à l’écoute du monde

Claude Béglé est un Conseiller national vaudois, venu à la politique après avoir été actif en tant que chef d'entreprises (Nestlé, DPD, DHL, La Poste) dans une centaine de pays. Homme d’action, avec un solide vécu international, il cherche à proposer des solutions innovantes, mais imprégnées d’humanité, dans un monde de plus en plus globalisé.

Il cultive une grande indépendance d’esprit, tient à réfléchir à l’écart des idées préconçues et des groupes de pression. Spécialiste des questions internationales et membre de la Commission de politique extérieure, il étudie de façon aussi neutre, objective et impartiale que possible, en allant voir sur place pour se faire sa propre opinion, des sujets délicats tels que: Corée du Nord, État Islamique (Irak), Boko Haram (Niger), FARC (Colombie), crise migratoire (Érythrée et Ouganda), transition post-communiste (Ukraine, Kazakhstan), etc... Ces rapports sont tous sur ce site. Rechercher la vérité et oser la dire.

Mais ce n’est pas tout, loin de là. Très actif au Conseil national, il a déposé plus d’une centaine d’interventions parlementaires. Et le Conseil fédéral a approuvé quinze de ses motions et postulats. Ceci dans des domaines très divers: appui à la mission humanitaire de la Suisse et à son rôle en matière de bons offices; criminalité des passeurs; dossier électronique du patient; flexibilisation de l’âge de la retraite; zones industrielles et artisanales; faire de la Suisse un épicentre de la gouvernance d’Internet. Plus de nombreuse interventions allant des questions climatique à l’innovation et l’entreprendrait, où la cyber-sécurité.

Né le 4 décembre 1949 à Berne, il est titulaire d'un doctorat en Economie, d'un master en Droit et d'un master en Relations Internationales. Sa femme est médecin et il est père de six enfants.

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Postulat au Conseil National

Il est demandé au Conseil fédéral de proposer un ensemble de mesures ponctuelles pour aider les PME à mieux faire face à la conjoncture défavorable, en particulier aux effets du franc fort. Ces mesures s'adresseraient en particulier aux PME produisant des biens et services innovants à vocation internationale. Elles pourraient comporter:

1. Un accompagnement pro-actif de nos PME et start-ups pour les aider à prendre pied à l'étranger. Au lieu de se plaindre des effets de la globalisation, aidons nos PME à rester compétitives en facilitant leur internationalisation. N'ayons pas peur de les inciter à s'implanter à l'étranger pour qu'elles y produisent à coûts réduits et y diversifient leurs risques. Le coeur de l'activité, avec la plus forte valeur ajoutée, pourra ainsi être pérennisé et renforcé chez nous. Une telle tâche pourrait faire partie du mandat de Swiss Global Enterprise ou d'une autre organisation similaire.

2. Une adaptation du système de « loss carry forward » permettrait de limiter les délocalisations en offrant aux actionnaires une forte motivation à rester en Suisse. Cela permettrait aussi de stimuler des investissements même en période de crise.

3. Une promotion d'un outil innovant, le « Cost Differential Frontier » développé à l'UNIL, permettrait d'évaluer les coûts cachés d'une délocalisation et d'optimiser celle-ci.

4. Une forme d'extension du chômage technique : les postes qui ne seraient pas délocalisés verraient le différentiel (salaire suisse moins salaire délocalisé) pris en charge pendant cinq ans, les employés continuant bien sûr à travailler.

Les grandes entreprises ont dans l'ensemble été moins impactées par la crise du franc fort. Du fait de leur forte présence internationale, elles jouissent déjà d'une bien meilleure répartition des risques et d'une bonne optimisation des coûts. Il serait bon d'aider nos PME innovantes à en faire de même, en les accompagnant dans ce processus, peu familier pour nombre d'entre elles.

Une étape cruciale et délicate, car nécessitant des capitaux et de l'expérience, est par exemple le « saut » commercial à l'international.

Ce soutien pourrait se faire sur le modèle de l'organisation I.E. à Singapour.

D'autres mesures pourraient être prises en Suisse même pour réduire l'écart entre nos coûts domestiques élevés et les marchés d'exportation.


Claude Béglé